Initiative de préservationdu patrimoine coréen

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Won Lee

Les chapeaux étaient autrefois des éléments essentiels de la garde-robe de chaque Coréen. Sous la dynastie Joseon (1392-1910), les chapeaux indiquaient le statut social, l'identité culturelle et bien d'autres choses encore. Aujourd'hui, alors que les séries télévisées coréennes populaires sont diffusées dans le monde entier par des services de streaming, les chapeaux masculins coréens - gats - font l'objet d'une attention nouvelle et accrue. Jinyoung A. Jin, Jiyeon Kim et Vicki Sung-yeon Kwon, conservateurs et historiens de l'art, explorent l'histoire et la diversité des styles de chapeaux

Dans la culture populaire coréenne, les gens croyaient que les maladies épidémiques étaient causées par la visite d'esprits, et ils organisaient donc des rituels chamaniques pour apaiser ces invités dans l'espoir qu'ils laissent la maison tranquille. Créée pour être accrochée dans un sanctuaire chamanique lors d'une cérémonie rituelle, cette peinture illustre les croyances et les pratiques coréennes liées aux maladies épidémiques sous la dynastie Joseon (1392-1897), lorsque des épidémies de choléra et de variole à grande échelle se déclaraient fréquemment.

Comment les immigrants BIPOC, qui ont connu la colonisation dans leur pays d'origine et le racisme dans leur nouvelle patrie, peuvent-ils se situer dans les conversations canadiennes sur la décolonisation et la justice sociale ? Au cours de cette conversation animée par Vicki Kwon, conservatrice du ROM, Christine Kim, spécialiste de la littérature et des études sur la diaspora coréenne, et l'artiste visuelle Diana Yoo discutent des nuances des expériences coréennes au Canada dans le contexte de l'identité nationale et des discussions contemporaines sur les expériences indigènes.